L’analyse des réponses a permis de dresser un portrait des activités effectuées par ceux qui ont noté des répercussions dans les différentes catégories. Il faut toutefois être prudent : il ne faut pas y voir une relation de cause à effet mais plutôt un portrait global de la situation. Aux fins de comparaison, pour les mêmes activités, le nombre de répondants n’ayant noté aucune répercussion est également représenté.
Certaines activités, notamment celles sur Google+, sont effectuées par un trop petit nombre de participants pour que le portrait soit représentatif. Toutefois, bien qu’ils soient peu nombreux, les huit enseignants utilisant les mots-clics sur Twitter pour suivre des évènements virtuels ont noté des répercussions sur leur pratique.

Figure 22 – Activités effectuées par les enseignants ayant noté au moins un type de répercussions sur leur pratique
Concernant les cinq activités les plus effectuées par les enseignants ayant répondu au questionnaire (entre 12 et 33 personnes), le pourcentage de ceux qui ont noté au moins un type de répercussions se situe entre 72 % et 92 %.

Figure 23 – Pourcentage d’enseignants ayant noté au moins un type de répercussions pour les cinq activités les plus souvent effectuées
La figure ci-après présente, quant à elle, les activités effectuées sur les principaux réseaux sociaux (Facebook, Google+ et Twitter) et regroupées selon la structure dans laquelle l’utilisateur est placé (voir à ce sujet la section Réseau et communauté : des structures aux caractéristiques différentes). La structure en réseau personnel regroupe les amitiés Facebook, les relations Google+ et les abonnements Twitter, alors que la structure en communauté regroupe les groupes Facebook, les communautés Google+ et les mots-clics Twitter. Les données présentées indiquent le pourcentage de ceux qui ont noté des répercussions (par rapport à ceux qui n’en n’ont pas noté) pour chacun des types de répercussions, selon la structure.